article « 9 conseils pour dire « non » à votre enfant »
Introduction
Ce n’est pas facile de discipliner un enfant. Cela peut même être déchirant. En tant que parent, vous voulez voir un sourire éclatant sur le visage de votre enfant, pas un froncement de sourcils triste, des larmes ou la colère redoutée.
Dire « non » dans le mauvais sens peut causer des dommages à long terme, mais le faire dans le bon sens peut en fin de compte rendre votre enfant heureux et vous apporter un soulagement à long terme.
Voici quelques conseils efficaces pour dire « non ».
Une fois suffit
Vous devez être ferme dans votre premier « non », il n’est donc pas nécessaire de le réitérer. Utilisez une expression faciale sérieuse et communiquez les raisons pour lesquelles votre enfant n’obtient pas ce qu’il veut. Si le premier « non » ne fonctionne pas, essayez une approche différente, par exemple en trouvant des moyens de dire « oui ».
C’est une grave erreur de céder.
Si votre enfant apprend qu’il peut vous harceler en lui disant « oui », il apprendra également à vous manipuler chaque fois qu’il veut quelque chose. Expliquez Parfois, il ne suffit pas de dire « non ». Les enfants peuvent ne pas comprendre et sont susceptibles de répéter un mauvais comportement à moins que vous ne leur expliquiez. La façon la plus efficace de dire « non » est de donner des raisons valables que votre enfant peut comprendre.
« Oui » peut signifier « non »
Les enfants entendent « non » trop souvent, ce qui nuit au développement de leur langage et peut provoquer du ressentiment. Il est tout à fait possible de dire « oui » tout en signifiant « non ». Par exemple, si votre enfant demande un cookie, vous pouvez répondre : « Oui, vous pouvez avoir un cookie après le dîner. » S’ils demandent un nouveau jouet en faisant leurs courses, dites : « Oui, si c’est ce que vous voulez pour Noël ». De cette façon, votre enfant a la possibilité d’obtenir ce qu’il veut lors d’une journée spéciale et apprend à faire des compromis.
Un magazine américain spécialisé dans le développement des enfants a écrit : « Crier sur vos enfants peut être aussi grave que les châtiments corporels, et cela pourrait causer des problèmes de comportement. Ainsi que des problèmes de développement émotionnel. Les conséquences de crier après les enfants l’emportent sur tout avantage possible de les faire taire temporairement. Le magazine américain « Mariage et famille » a découvert que crier peut causer des problèmes de dépression et d’estime de soi. Ainsi, il est vital d’apprendre à communiquer calmement et gentiment.
Les demandes persistantes sont souvent une forme d’ennui
Prêter attention à votre enfant en engageant une conversation ou en jouant avec lui peut rapidement rediriger et recentrer le sujet sur quelque chose de plus positif.
Respectez sa vie privée
N’embarrassez pas votre enfant devant d’autres personnes. Attirez leur attention, rendez-vous dans un endroit privé et communiquez clairement les raisons pour lesquelles vous dites « non ». Votre enfant peut vous en vouloir si vous lui manquez de respect en public, surtout si les autres se moquent d’eux. N’oubliez pas que si vous embarrassez votre enfant en public, il apprendra à faire de même avec vous !
Dites « Non » avec une alternative
Donner des alternatives peut convaincre votre enfant que vous ne refusez pas sa demande. Par exemple : « Non, chérie, tu ne peux pas avoir de bonbons ; vous pouvez avoir une pomme à la place » offre une alternative et ouvre la porte à une explication sur les bienfaits pour la santé des pommes par rapport aux bonbons. Ne donnez pas de faux espoirs Les parents disent souvent : « Pas maintenant, ma chérie. Si pas maintenant quand? Si vous ne respectez pas votre promesse implicite, votre enfant peut commencer à avoir des problèmes de confiance. Donnez un délai concret dans lequel votre enfant peut s’attendre à ce que son souhait soit exaucé. Par exemple : « Pas maintenant, chérie. Nous l’achèterons pour votre anniversaire. »
Laissez l’enfant choisir
Le choix donne du pouvoir aux enfants et leur fait sentir que leurs opinions comptent. Ils ne se sentiront pas ignorés s’ils décident. Par exemple, vous pouvez refuser une demande de bonbons et demander s’il y a un fruit qu’ils aimeraient à la place, en leur rappelant votre explication sur les bienfaits pour la santé. Lorsque vous choisissez des articles tels que des céréales pour le petit-déjeuner, choisissez quelques options viables et enfant la décision finale plutôt que de leur permettre de choisir parmi toute la gamme. Donner la permission de choisir n’importe quoi peut entraîner de mauvaises sélections que vous devrez nier, ce qui sapera l’importance de leur opinion.
Ne contredisez pas votre partenaire
Parfois, un parent dira « non », seulement pour voir l’enfant approcher l’autre parent pour un « Oui. » Cela peut provoquer des conflits entre les parents et créer une habitude manipulatrice chez votre enfant. Vous et votre partenaire devez communiquer – il est facile de demander si une décision a déjà été prise. Dire « non » est difficile. Vous voulez faire plaisir à vos enfants. C’est beaucoup plus facile, du moins pour le moment, de céder à leurs désirs. C’est aussi plus facile de crier. Cependant, étant donné les effets indésirables à long terme, il est impératif que vous passiez du temps à apprendre à communiquer calmement et efficacement.
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